Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Marcnews

Marcnews

Conseils, science, sante et bien-être


Pourquoi certains metiers ne nous interressent pas?

Publié par Larichesse sur 10 Juillet 2012, 23:28pm

Catégories : #IMPORTANT

exemple cvSi certains postes sont submergés de CV, d'autres peinent toujours à trouver des intéressés, selon une étude du site d'offres d'emplois jobintree.com, qui a passé au crible plus de 300.000 candidatures entre février et mai.

 

Les candidats les plus durs à dénicher sont les technico-commerciaux. Chaque offre attire seulement 2,3 CV sur la période étudiée. Soit trois fois moins que pour l'ensemble des offres (8,15 candidatures en moyenne). "La fonction commerciale ne suscite pas beaucoup de vocations, car il faut prospecter tout au long de la journée, avec le risque de revenir bredouille", justifie Fabrice Robert, co-fondateur de Jobintree.com.

 

L'informatique est aussi un véritable casse-tête pour les recruteurs. Une offre d'emploi de développeur, par exemple, ne récolte que 2,6 CV en moyenne. La faute à un système de formation inadapté aux besoins croissants des entreprises dans ce domaine. "Le déficit est particulièrement important pour tous les métiers qui touchent au web", détaille Fabrice Robert. Même pénurie dans l'ingénierie industrielle (dessinateur projeteur, ingénieur en bureau d'études…).

 

A l'inverse, la concurrence est rude sur les postes d'hôtesses d'accueil. Chaque offre recueille, en moyenne, 64,6 candidatures ! Le contexte économique difficile incite en effet les chômeurs à postuler pour des emplois peu qualifiés, où il est facile d'être embauché rapidement : serveurs, techniciens de surface, agents de sécurité…

 

Bien qu'elles requièrent de bons diplômes, les offres de chargés de communication, de juriste ou encore de chef de produit croulent aussi sous les candidatures. L'explication est simple pour Fabrice Robert : "Le marketing, les RH et le juridique sont les premiers secteurs à trinquer en temps de crise".

 

Bio: Capital.fr

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article

Archives