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Marcnews

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Conseils, science, sante et bien-être


22 choses que mon ex m’a appris

Publié par MaRichesse.Com sur 31 Mars 2014, 20:58pm

Catégories : #HOMME-FEMME

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De lui on a gardé un vieux pull, quelques textos, pas mal de souvenirs et un truc en plus, un déclic ou un enseignement. Petit ou grand. Ce n’est pas avec ce garçon que vous ferez votre vie mais pour ça au moins, vous pouvez le remercier. 

Les cours d’auto-école furent un calvaire, j’ai une trouille bleue de la conduite. Mon permis décroché, je l’ai rangé dans un tiroir et je n’ai pas retouché à un volant. Jusqu’à ce que je rencontre Mehdi, deux ans après. Il m’a poussée à m’y remettre, sur des parkings d’abord puis sur des trajets de plus en plus longs. Sa sérénité m’a rassurée : sans lui, je n’aurais probablement jamais acquis cette liberté qu’on gagne en conduisant. Lisa, 31 ans

C’était un type sans états d’âme. Et surtout sans culpabilité mal placée, là où moi je me sens responsable de tout. En échangeant avec lui, j’ai compris à quel point je devais mieux répartir les responsabilités, et intégrer que c’est souvent 50/50, et que tout n’est pas de mon fait. Solange, 32 ans  

On peut faire cuire les pommes de terre au four micro-ondes. Dans un sac plastique fermé, avec un petit fond d’eau. Marine, 28 ans

Son père est mort d’un cancer du poumon, fumer devant lui devient presque indécent. Et puis ça caille sur son balcon. Après deux jours cloîtrés chez lui à faire l’amour, je réalise que j’ai survécu sans cigarettes. Du coup je n’en ai jamais rallumé. Gwenaëlle, 30 ans

On a tous les deux envie d’être à notre compte et on quitte nos boulots respectifs pour monter une boîte de e-commerce. Ça ne décolle jamais, et minés par la pression on se sépare. Sur le coup j’ai du mal à encaisser cette double défaite, mais je sais aujourd’hui que c’est son impulsion qui m’a aidée à quitter le confort du salariat. Dina, 38 ans  

Depuis lui, je ne m’épile plus le maillot. Il s’en foutait, j’ai compris que moi aussi. Garance, 29 ans

C’est ma première relation posée, et avec lui je me découvre d’une jalousie excessive. Je décide de consulter un psy, parce que je sens qu’il y a en moi des choses qui me dépassent. J’ai arrêté avec lui, mais continué avec le psy. Je travaille sur ma peur viscérale de l’abandon : je sais que la prochaine fois je ne réveillerai pas les mêmes démons, beaucoup grâce au psy, et donc un peu grâce à lui. Nadège, 32 ans

On passe trois ans ensemble. Enfin sauf si on compte toutes les séparations. Trois ans d’incompréhensions, de reproches réciproques, d’engueulades et de réconciliations passionnées… Jusqu’à la prochaine fois. Pourtant je fais tout pour que ça marche, lui aussi. Et c’est peut-être ça le problème. Avec lui je réalise que l’amour ne suffit pas, et qu’on peut s’aimer mais ne pas pouvoir être heureux ensemble. Parce que nos attentes sont trop différentes, et qu’on ne situe pas le bonheur au même endroit. Depuis lui je ne m’acharne plus dans une relation, parce que j’ai compris qu’on ne faisait pas rentrer un rond dans un carré, tout simplement. Audrey, 33 ans

Ça a commencé par un livre qui traînait sur sa table de chevet, « Un barrage contre le Pacifique ». Je ne lisais que des auteurs très contemporains, grâce à lui je me suis découvert une passion pour Marguerite Duras. Ana, 34 ans

Pendant un cunnilingus, l’air chaud qu’il soufflait tout doucement avec sa bouche me faisait décoller. Je ne suis pas sûre qu’il aimerait savoir que j’ai souvent suggéré cette méthode à mes amants. Perrine, 31 ans

Il était là pour la visite de mon appart. En sortant j’hésitais, il m’a dit que j’allais regretter de le laisser passer. Il avait raison, même s’il ne l’a jamais vu meublé. Sonia, 36 ans

Arrivée à la trentaine, j’ai l’impression d’avoir la pression de tout le monde pour me « maquer ». On s’inquiète pour moi, on me conseille d’avoir « des aventures, au moins ». J’en ai une, avec lui. Et je m’ennuie. Maintenant je n’ai plus à me justifier sur ma prétendue impossibilité à rencontrer quelqu’un. Et je peux dire haut et fort que j’ai juste envie d’être seule en ce moment. Christelle, 34 ans

J’ai eu du mal à me remettre de mon premier chagrin d’amour. Si je me suis relevée c’est grâce à David : je n’étais pas amoureuse, je l’ai quitté au bout de cinq mois, mais c’est lui qui m’a aidée à remettre de la légèreté dans ma vie. Sofia, 39 ans

Il m’a présenté son meilleur ami. On se marie l’été prochain. Agnès, 31 ans

Je vis à Paris depuis sept ans quand je rencontre Samuel, qui bosse en Belgique. Je quitte tout pour le rejoindre. On fait les choses trop vite, ça ne fonctionne pas. Mais je ne repars pas. Parce qu’entre-temps j’ai eu un coup de cœur : pas pour un mec, mais pour une ville, Bruxelles. C’est le dernier endroit où j’aurais pensé vivre, et sans cette rencontre je n’y aurais probablement jamais mis les pieds. C’eût été dommage, c’est la première fois que je me sens vraiment chez moi quelque part. Jane, 34 ans

Il m’a convertie au vélo. Il détestait le métro, c’est pour le suivre que je me suis mise au Vélib’. Adieu la ligne 13, maintenant je fais une heure d’exercice par jour pour aller et rentrer du boulot. Elise, 34 ans

J’ai quitté mon mec pour lui. Ça n’a duré que trois mois, mais sans cette rencontre j’aurais sans doute perdu encore quelques années auprès d’un type qui me trompait depuis plus d’un an. Tatiana, 32 ans

Depuis lui, je sais manger avec des baguettes. Même les nouilles. Anaïs, 26 ans  

Pendant l’amour, il glissait souvent un oreiller sous mon bassin. J’ai bien retenu la leçon. Angèle, 30 ans

J’ai commencé à voyager. Je trouvais toujours une bonne raison de ne pas me lancer : manque de temps, d’argent, personne avec qui partir. Au fond c’est le dépaysement qui me faisait peur. Alors forcément, quand je pars avec lui en Inde en 2009, c’est le choc. Et le déclic aussi : depuis, les voyages c’est un par an, toute seule avec mon sac à dos. Hélène, 32 ans

J’ai arrêté de me ronger les ongles. Les siens étaient pires, on s’est lancé le défi en même temps. Léonie, 26 ans

Il m’a toujours encouragée à entreprendre des recherches pour retrouver mon père. Je lui ai promis que le jour où je le reverrai, c’est à lui que je le dirai en premier. Claire, 28 ans

On a passé tous les deux le permis moto. J’y pensais depuis des années, j’avais juste envie de vivre l’aventure avec quelqu’un. Lorie, 36 ans

Je me suis mise en quatre pour être « à la hauteur », il a fini par me quitter. Depuis lui je sais que ne pas être naturelle, se forcer à quoi que ce soit, c’est la meilleure façon d’aller droit dans le mur. Aude, 32 ans 

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