On craint en effet que des services de renseignements étrangers ou des « hacktivistes » politiques piratent une montre connectée pour recueillir des informations.
Alastair McGibbon, le conseiller spécial de Turnbull en matière de cyber sécurité, a expliqué à Fairfax Média qu’à l’avenir, de plus en plus d’appareils personnels seraient connectés à l’internet, ce qui implique qu’ils susciteront une certaine suspicion. « Dans un monde dans lequel il est nécessaire pour le gouvernement d’avoir des conversations sans qu’il y ait d’électronique dans la pièce, il y a de plus en plus d’articles qui devront être enfermés ailleurs », dit-il.
L’ex-Premier ministre David Cameron avait lui-même interdit le port de montre connectée dans son cabinet. Une source britannique a expliqué au journal : « Les russes tentent de pirater n’importe quoi ».