Une fois le Bac obtenu, de nombreux jeunes francophones sont confrontés à choix lourd de conséquences : étudier en France, en Israël ou ailleurs ? Voici les 10 bonnes raisons de débuter ses études dans le pays où coulent le lait et le miel : Israël.
Au regard de sa population, Israël a le taux de diplômés et de start-ups le plus élevé au monde ! C’est dire si l’Etat d’Israël mise beaucoup sur ses jeunes qui sortent de grandes écoles, dans un pays déjà bien développé, dont la croissance du PIB augmente chaque année (2,8 % de prévision en 2016), mais où il reste encore tant à faire.
Dans de nombreux domaines, un diplôme obtenu a l’étranger n’a aucune valeur en Israël, quelque soit le nombre d’années d’études, et ce, souvent au prix d’importants sacrifices. La seule solution est alors – quand cela est possible – d’effectuer une formation et/ou de réussir un examen pour décrocher une équivalence. Etudier en Israël directement après le Bac permet de décrocher un diplôme israélien et ainsi d’éviter ces soucis d’équivalences.
Rien de mieux qu’une température agréable et d’un ciel ensoleillé toute l’année pour étudier en toute sérénité ! L’atmosphère de Jérusalem, le désert du Neguev, les plages d’Eilat, le plateau verdoyant du Golan, les bars/boites de Tel-Aviv, les start-ups en vogue, les bases militaires, les musées : Israël regorge de lieux à visiter. Et en Israël, on profite de son temps libre comme en vacances, toute l’année.
Pour favoriser l’immigration des juifs du monde entier, l’Etat hébreu alloue à chaque olé un « panier d’intégration » (environ 4000 € pour un jeune célibataire). L’Agence Juive attribue également, par l’intermédiaire de Massa, une bourse pouvant atteindre jusqu’à 10 000 $. Ces aides considérables permettent ainsi à chaque jeune de financer tout ou partie de ses études. D’autres avantages et allocations existent, se renseigner auprès des organismes compétents.
Au delà d’être une terre d’accueil pour les juifs du monde entier, Eretz Israël est surtout une terre d’épanouissement pour vivre son judaïsme pleinement. Ceci est d’autant plus vrai que le rythme scolaire est basé sur le calendrier juif : pas de cours ni examens pendant Shabbat et les fêtes, synagogues dans chaque université et shabbats organisés entre jeunes toutes les semaines. Etudier en Israël est le meilleur moyen de concilier sa vie juive avec ses études.
Bien qu’âgé de seulement 68 ans, le petit Etat d’Israël est aujourd’hui classé 8ème puissance mondiale (d’après le US News & World Report) pour ses influences économiques et politiques, ses alliances internationales et la puissance de son armée. La croissance est de 2,5% en 2015, contre 1,1 % pour la France ou 1,4% en Belgique.
En Israël, le taux de chômage n’a jamais été aussi bas depuis le milieu des années 80 : 5,3% en 2015. Le pays a enfin atteint le plein-emploi, après 10 années de baisse consécutives. Il est donc théoriquement plus aisé de trouver un emploi en Israël que partout ailleurs dans le monde, surtout s’il s’agit d’un emploi est qualifié.
La décision de faire sa alya est une décision lourde et importante qui peut survenir à tout moment, en fonction du contexte politique, économique, familial ou religieux. Imaginons que cette décision intervienne en plein milieu des études : que faire ? Rester en France, parfois encore de longues années, jusqu’à terminer ses études ? Ou tout reprendre à zéro en Israël, mais terminer ses études assez tardivement ? Voilà un dilemme qu’il vaut mieux éviter. L’idéal aurait donc été de commencer ses études directement en Israël, et ainsi entrer dans la vie active moins tardivement.
Etudier en Israël constitue également l’un des meilleurs moyens d’apprendre et de parfaire son niveau d’anglais ! Enseignée depuis le plus jeune âge, la langue de Shakespeare est maniée par les israéliens aussi facilement que leur langue natale, et est souvent requise pour les emplois qualifiés.
Jusqu’à présent, il était nécessaire pour un francophone de savoir parler correctement hébreu et/ou anglais pour entamer des études supérieures en Israël, avec le plus souvent la nécessité de faire une année de mekhina pour apprendre la langue.
Basée sur un programme Bachelor en français – anglais – hébreu, TAL Business School est la première Grande Ecole de Commerce pour les francophones en Israël. Elle intègre un oulpan intensif d’hébreu sur l’ensemble de la formation en 3 ans, pour faire des étudiants francophones les managers israéliens influents de demain.
Contrairement à de nombreux établissements en Israël, l’entrée à TAL Business School ne nécessite pas l’obtention d’un score aux psychométriques. L’entrée s’effectue sur concours, en post-BAC ou après un BAC+2 (DUT, BTS…).
La troisième année du double-diplôme Bachelor est celle de la spécialisation avec au choix : Business Management, International Business ou Start-Up et Digital Business.